dimanche 15 décembre 2013

"Le Coach": un conseil de sortie pour les fêtes (ou après)

Bonjour à toutes et à tous,
 
Un peu de dérision sur la profession de Coach. Le client s'appelle Patrick Marmignon, il est trop gentil et donc il va prendre un coach. Bien sûr ce coach n'a rien d'un Coach car il est tout en conseils et en injonctions vis à vis de son client. Voilà qui ne va rien arranger sur la façon dont la profession est perçue. Qu'importe, comme nous le disions avec une amie: il y a 2 catégories de coachs, ceux qui ont des clients et ceux qui n'en ont pas. Au final, les clients savent séparer le bon grain de l'ivraie, non?
 
Profitez donc de cette belle sucrerie pour les fêtes. Il y a là un beau moment de rigolade à prendre, aussi pour les Coachs qui aiment la dérision et savent parfois ne pas trop se prendre au sérieux!
 
 
 
Joyeux Noël à toutes et à tous,


A l'Alambic Comédie certains soir à 20h, plus d'infos ci-dessous:
http://www.ticketac.com/spectacles/le-coach-.htm?gclid=CMz6kZCxsrsCFXMgtAodXRMAQA

dimanche 13 octobre 2013

Cadres de direction: Opportunité de rejoindre un groupe inter-entreprises de formation et d'échanges!


Bonjour à tous,

J'ai été choisi en tant qu'expert de la dynamique de groupe pour ouvrir un groupe Germe (Groupes d’Entraînement et de Réflexion au Management des Entreprises) sur Paris au 1er trimestre 2014.

Germe - www.germe.com - est une association à l'origine issue de l'APM (Association Progrès du Management). C'est aussi un organisme de formation.

Germe propose au sein de ses groupes (89 à ce jour sur toute la France) des formations innovantes, du partage d'expériences et des échanges de bonnes pratiques. Chaque groupe est composé de 15 à 20 cadres de directions, managers stratégiques de grands groupes ou dirigeants de TPE. En rejoignant un groupe, vous choisissez :


  • de co-créer selon vos besoins une liste de thèmes sur lesquels un intervenant-expert de haut niveau viendra vous former sur l'une des 6 journées de formation dans l'année ;
  • d'échanger au sein d'un parcours ouvert qui inclut aussi 2 journées d'échanges et d'appropriation ;
  • de vous offrir une respiration et la variété des regards d'autres cadres de directions qui travaillent chacun dans une entreprise différente.


Parce que Germe est une association, ce cycle de 8 jours par an est à 2700,- € HT.

Si cette aventure vous tente ou tout simplement que si vous souhaitez en savoir plus, contactez moi par mail à cr.invicem@gmail.com ou par téléphone au 06.60.57.44.82. Je suis disponible pour échanger avec vous, vous inclure dans une des réunions de présentation organisées en région parisienne.

N.B.: J'organise notamment une conférence sur le sujet le mardi 26 novembre à 19 heures sur Paris au Centorial (Métro: 4 Septembre) sur le campus parisien de l'EDHEC. Pour être invité, envoyez-moi un mail à cr.invicem@gmail.com.


samedi 12 octobre 2013

Pourquoi ne pas mettre l'intelligence collective au service de mon projet pro?


Inspiré par l'EDHEC (http://www.edhecalumni.com), j'adapte mon modèle carrière individuel Dream Job Pack – GPS Carrière® à du collectif pour donner le Dream Job Pack Grande Ecole – GPS Carrière®. Le modèle s'enrichit ainsi par le collectif avec des séances de miroir et de créativité que j'utilisais déjà dans des projets de cohésion d'équipe, etc.

C'est l'objet de la conférence que j'ai donnée le 17 septembre dernier sur le campus parisien de l'école.

A partir du 7 novembre 2013 et jusqu'au 30 janvier, chaque jeudi de 19h à 21h30, un groupe de 8 à 12 cadres vont ainsi progresser en 10 séances (9 collectives et 1 individuelle) pour identifier leur GPS, ces ingrédients de leur Dream Job, avant de définir des cibles professionnelles et de décliner un/des Dream Job (s) et un plan d'actions pour y aller... ou pas.

Identifier les ingrédients de son Dream Job, c'est clarifier le fantasme de la réalité, exprimer en conscience les éléments constitutifs à mettre qui sait dès aujourd'hui dans votre job pour embellir le quotidien.

Comme dans le modèle individuel, j'ai retenu 2 séances post-coaching (1 en groupe, 1 en individuel) 4 à 6 semaines après pour faire répondre à des besoins de clarifications du groupe ou individuelles.


Il reste encore quelques places. Si cela vous intéresse ou des proches, contactez-moi au 06.60.57.44.82 ou par mail à cr.invicem@gmail.com.



jeudi 22 août 2013

Soyons insatiables, soyons fous! (Steve Jobs)

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Alors qu'est sorti hier sur les écrans de cinéma le film "Jobs", j'échange avec vous quelques verbatim du discours de Steve Jobs à l'Université de Stanford en 2005. Ce sont autant de valeurs et d'idées que je partage. Tout cela s'inscrit dans mon métier de Coach pour aider mes clients à aller grâce au GPS Carrière® vers le job de leurs rêves. Nous passons plus de 50% de notre temps de vie au travail.
 
"Connecting the dots"
 
"Getting fired from Apple was one the best thing that ever happened to me"
"Be a beginner again" 
 
"You've got to find what you love" 
"Your work is gonna fill a large part of your life"
"The only way to be truly satisfied is to do what you believe is great work. The only way to do great work is to love what you do"
"If you haven't found it yet, keep looking, don't settle"
 
"Live your day as if it were your last"
"If today were the last day of my life, will I wanna do what I'm gonna do today?" (Steve Jobs explique que si la réalité ne correspond pas à la réponse à la question et cela plusieurs jours, semaines d'affilée, alors il y a quelque chose à faire).
 
"Have the courage to follow your heart and intuition. They somehow already know what you truly want to become. Everything else is secondary".

"Stay hungry, stay foolish" (Soyez insatiables, soyez fous)
 
P.S.: J'ai vu l'année dernière à Milan des T-Shirts avec le slogan imprimé dessus!
 
La vidéo ci-dessous sous-titrée:
 
 

mercredi 19 juin 2013

Passer un cap ou changer de voie : quel mode d’emploi ?

Je reprends là le titre de la soirée du 18 juin organisée par l’Express et l’APEC (Agence pour l’Emploi des Cadres). Au 6ème et dernier étage de l'Express, cet événement de la série « Les informels » était organisé avec 11 tables rondes d’une bonne dizaine de personnes chacune, une introduction, 3 coups de gong nous invitant à chaque fois à changer de table pour aller à la découverte de nouvelles personnes. A chaque table son témoin qui a vécu un changement professionnel et un conseiller APEC.

Chacun des 11 témoins a été invité avant que les 3 rounds ne commencent à donner ses conseils / recommandations et il me semble intéressant en tant que Coach Carrière (qui pose des questions mais peut aussi proposer des options) de les reprendre ici en préambule :

« garder le moral, avoir confiance en soi »
« éviter des erreurs » (comme un CV standard)
« être soutenu par son entourage »
« aimer ce que l’on fait, s’investir »
« ne pas se laisser désintégrer par l’environnement »
« être carré sur son noyau intérieur, avoir des aspirations profondes et les respecter »
« rester attentif aux gens qui nous entourent » (car la solution/proposition de job pourrait venir d’eux)
« faire un dossier client »
« avoir une démarche d’aller à des conférences, de rencontrer des gens »
« donner du sens à sa vie professionnelle »
« se faire une idée réelle du métier » (par une enquête métier, le contact avec des professionnels)
« poser quelque chose, arrêter de faire le grand écart »
« faire quelque chose qui a du sens »
« important de penser qu’on a quelque chose à y gagner personnellement » (même si on y perd financièrement au début)
« se méfier de la complaisance de soi et des autres vis-à-vis de nous-mêmes »
« s’entourer de gens qui ont un vrai sens critique »

Tout cela est facile à dire, n'est-ce pas? Ces témoins ne l’ont pas fait tout seul. Cette connaissance d’eux-mêmes, cette identification des compétences, des motivations (du sens), la détermination d’une cible ou de plusieurs et la mise en mouvement avec un plan d’actions : ce sont des conseillers APEC qui les y ont aidés. Et d’ailleurs plusieurs affirment haut et fort ce conseil : SE FAIRE ACCOMPAGNER. Je l’ai vécu moi-même avec l’APEC en 2003 puis avec un cabinet en 2005 et à chaque fois cela m’a boosté.

*****

Cette soirée vient comme en écho à mon activité de Coach Carrière : je viens en effet de terminer il y a 10 jours l’accompagnement de deux clients sur la base du modèle dont je vous parlais en avril. Je partage ici avec vous quelques verbatim de mes coachés :

« J’ai bien aimé que mes idées émergent et que tu ne me proposes pas une liste de verbes comme c’est parfois le cas ».
« La démarche est marquante, elle aide à retenir les choses plus facilement »
« J’ai un plan d’actions. J’ai des choses à creuser avant d’aller chercher un job » (en parlant d’un plan d’actions de surfing relationnel)
« J’aurais aimé avoir plus de travail à faire entre les séances » (le modèle est basé sur le fait que le travail se fait en séance avec quelques actions/premiers pas parfois qu’un coaché se donne mais sans que le coach ne donne spécifiquement quelque chose comme le ferait systématiquement un conseiller emploi)
« Je retiens que j’ai un projet de vie »
« Revivre des situations permet de prendre du recul »
« La visualisation projette dans des sensations de bien-être. Elle permet de mettre en lumière ce vers quoi on veut tendre »
« Le MBTI est un outil très bien : ça aide à se connaître soi-même, à se poser des questions, à mettre des mots sur certaines situations »
« Le GPS permet de cibler des mots, de se poser la question  « qui tu es, qu’est-ce qui est important, à quoi tu tiens le plus ? » »
« Tu viens là, c’est du temps pour toi »

Et je profite de cet article pour faire la pub d’un livre (cf. photo) que j’ai acheté hier soir parce que Jean-Pierre Ayer (l’un des 11 témoins de la soirée) m’a touché par la richesse de son parcours et sa soif d’aider et d’innover avec l’œil toujours très vif. C’est pour moi une source de plus à l’appui d’options avisées (là en l'occurrence, retenir l'idée de la biographie comme accroche). Merci Jean-Pierre !
 

mercredi 12 juin 2013

Comment optimiser l’efficacité des formations au management ? De la démarche coaching en appui...


Au sujet de l’efficacité des formations, une récente étude Managéris affirme qu’une des clés du succès est dans le dispositif post-formation (67% des 411 managers et dirigeants interrogés déclarent que c’est essentiel). Les personnes sont souvent satisfaites d’une formation mais cela ne débouche pas toujours sur une mise en pratique. Or le passage à l’acte est un des enjeux majeurs pour générer des résultats sur le terrain.

Chez Invicem Management, nous mettons un point d'honneur à faire en sorte que le client reparte avec un plan d'actions qu’il se donne en pleine responsabilité (qui vient du mode « action learning » des formations où une belle part - 80% - est faite à la mise en pratique/situation et l’expérimentation).

Par ailleurs, un suivi post-formation est proposé sur un mode coaching avec a minima un point téléphonique dans les 4 à 12 semaines après la formation. Cela s’inscrit dans la droite lignée de l’accompagnement proposé dans le « GPS Carrière© », mon modèle d’accompagnement Carrière dont je vous parlais ici en avril 2013. Cela se fait sans perdre de vue l’autonomisation du client au terme de ce suivi court terme.
D’autres modes innovants (mentoring, atelier de co-développement, exercice d’écriture) sont aussi envisageables. Tout cela est très « coachy ». 

Invicem Management accompagne plus globalement les directions des Ressources Humaines dans l'audit de leur gouvernance formation, la mise en place d'un dispositif efficace de suivi, etc.

Me contacter pour plus de détails au 06.60.57.44.82.



mercredi 29 mai 2013

Voulez-vous faire partie des Nouveaux Riches (ou NR) ?


« J’ai envie de plus de temps pour moi » : la phrase qui revient dans de nombreux coachings. Au-delà de pistes en gestion du temps qui nous conduisent à opérer des changements de niveau 1, il y a aussi la possibilité d’accéder à d’autres changements plus structurels de vie qui sont appelés des changements de niveau 2, disons-le franchement changer de style de vie.

C’est de ce type de changement dont parle Timothy Ferriss dans son livre « La Semaine de 4 heures » (The 4-hour workweek -  “Escape 9-5, Live anywhere and Join the New Rich”).  J’ai lu ce livre il y a 5 ans ou plutôt je l’ai écouté avec des CD-Roms. Il me sert aujourd’hui dans mes coachings pour une variété de questions ou des suggestions de pistes à mes clients. Je souhaitais depuis longtemps partager avec vous cette lecture. C’est aujourd’hui chose faite.



L’idée que suggère Tim est de faire un DEAL avec soi-même, à savoir :
  1. Définir (« DEFINE ») un objectif fondé sur la croyance que la vraie richesse c’est le temps. La devise des Nouveaux Riches dont parle Tim, c’est le temps et la mobilité. Il s’agit d’oublier la croyance que la vie est faite pour travailler en épargnant pour sa retraite tout en espérant pouvoir enfin couler des jours heureux une fois la date atteinte… ce qui nous est bientôt promis au bout de 43 ans de cotisation. Et qu’en sera-t-il pour la Génération Y ? 45-47 ans de cotisation ? Comme le dit Tim, ce n’est pas d’avoir 1Mio d’euros à la banque le rêve, c’est la liberté que je peux acheter avec ce million d’euros. Le livre de Tim fourmille d’idées qui sortent du cadre et surtout qui défient bien des croyances, des peurs que nous avons et qu'il s'agit au préalable d'identifier pour les vaincre.
  2. La 2e étape est d’éliminer (« ELIMINATE »), de voir où j’ai envie de mettre mon énergie, ce qui peut être évité. Tim nous donne là encore des éléments contre-intuitifs saisissants qui cassent les codes, sortent du cadre (e.g. le commercial qui va passer ses appels avant 9heures et après 18heures pour éviter la secrétaire et avoir le double de conclusions d’affaires en 1/8 du temps habituel).
  3. La 3e phase consiste à automatiser (« AUTOMATE »), à décider de règles de non décision, de gestion des mails pour par exemple augmenter l’efficacité de 80%.
  4. La dernière étape (et la séquence est vraiment à respecter, faire du DELA au lieu d’un DEAL ne marche pas) est de se libérer (« LIBERATE »). C’est l’atteinte du résultat mais aussi pour partie un moyen : le concept de profiter de la vie tout au long de la vie (le concept de « mini-retirement », petites périodes chaque année ou quelques années comme un voyage, un congé sabbatique), liberté et mobilité (Tim fait d’ailleurs un clin d’œil à un autre bestseller qu’une amie m’avait offert à mon retour de congé sabbatique en 2008 : « Vagabonding » de Rolf Potts – pour faire bref, les 2 idées phares de ce dernier qui brisent là encore bien des croyances collectives et/ou individuelles: voyager peut coûter moins cher que de rester chez soi ; il est possible de voyager et de travailler toute une vie) .

Le modèle que développe Tim, c’est sa vie : comment il est passé du statut d’employé qui travaillait 12heures par jour pour 40 000 dollars par an en 2001 à un entrepreneur qui gagnait la même somme en un mois et avait de la liberté. Il parcourt à présent le monde avec son livre, ses idées et de nombreux produits dérivés (the 4-hour body, the 4-hour chef, etc.). Ce livre ouvre des possibilités, quelque que soit son statut, sa situation familiale.
Lisez-le et/ou contactez-moi: tout part de la clarification de l’objectif et un coach ne peut que faciliter cela.

Cyril (06.60.57.44.82)

dimanche 12 mai 2013

Et si c’était possible ? Et si je mettais mon imagination à mon service ?

Mon métier de coach m’a amené un jour à me poser des questions sur Mr Coué. Très célèbre Monsieur Coué mais j’en avais tellement entendu parler gamin sans prendre la chose au sérieux que j’ai découvert à ma grande surprise que la chose était très sérieuse. 

La méthode est aussi familière du grand public qu’elle est méconnue sur ses impacts réels. Elle est simple et sans limites puisque l’autosuggestion est sans limites.
Émile Coué formalise sa méthode en une phrase et engage ses patients à répéter vingt fois de suite et trois fois par jours : «Tous les jours et à tous points de vue, je vais de mieux en mieux.»
Notre subconscient est à l'origine de nos états physiques et mentaux ; c'est par notre imagination que nous pouvons communiquer avec notre subconscient. Nos images et nos représentations négatives ont des effets sournois et dévastateurs. Nous avons cette liberté et cette capacité d'imaginer le possible et le positif.

Cette approche a 5 postulats de base :

  1. Une pensée, bonne ou mauvaise, que nous avons en tête est pour nous la réalité, et a tendance à se réaliser.
  2. La première faculté de l'homme est l'imagination.
  3. Quand il y a lutte entre l'imagination et la volonté, c'est toujours l'imagination qui l'emporte sans aucune exception.
  4.  Lorsque la volonté et l'imagination sont en accord, elles font plus que s'ajouter, elles se multiplient. (C'est une image pour illustrer la force de cette alliance).
  5. L'imagination peut être conduite.
C’est une approche efficace pour renforcer la confiance en soi. Elle est à l’origine de la pensée positive et de l’approche des thérapies « orientées solutions ».

En tant que yogi et professeur de yoga, j’applique la méthode Coué par l’autosuggestion lors de la relaxation finale : « Mon bras droit se relâche, mon bras droit se relâche, mon bras droit est… relâché », et ainsi de suite avec chaque membre du corps jusqu’au final « Chaque cellule de mon corps se relâche, chaque cellule de mon corps se relâche, chaque cellule de mon corps est relâchée »).

Mais attention, l’adage «quand on veut on peut » ce n’est pas la méthode Coué. La volonté n’est pas l’imagination.
Ainsi, en reprenant la situation d’un fumeur qui souhaite arrêter de fumer. Le seul fait de se dire « il faut que j’arrête de fumer » n’est pas suffisant.
Voici 3 questions clés qu’en tant que coach, je pose parfois à un client qui me dit « il faut que » :
  1. Est-ce que tu en as envie ?
  2. Est-ce que tu vas y trouver un intérêt ?
  3. Est-ce que tu imagines que cela est possible ?
Prenons l’exemple que des formateurs en coaching prenaient souvent : arrêter de fumer (N.B.: au tiers de ma deuxième formation au coaching, j’ai arrêté de fumer). Le site http://www.tabac-info-service.fr/ parle dans le chapitre « Je fais le point sur ma motivation » des éléments moteurs qui font que la personne va imaginer l’intérêt qu’elle peut trouver en arrêtant de fumer. Il pourra par exemple d’agir : d’avoir plus de souffle, de renouer avec le goût, de savourer le bon vin, de faire la transjurassienne l’hiver prochain (pour info 76 kms en ski de fond les 8 et 9 février 2014), etc.
Voilà comment « il faut que j’arrête de fumer » devient « j’ai envie d’arrêter de fumer pour avoir plus de souffle et faire la transjurassienne l’hiver prochain ».

A l’instant, alors que j’écris, un « il faut que je fasse les carreaux » devient « j’ai envie de nettoyer les vitres pour avoir un horizon net ».

Dans la même veine, en tant que coach carrière, je travaille avec mes clients leur vision sur un mode « et si tout était possible, que changeriez-vous, que feriez-vous de différent ? », etc.

Voilà. Si vous avez une problématique où vous vous heurtez à une apparente impossibilité de réalisation, je vous propose de faire le point ensemble. Contactez-moi.

« Que les mots "difficile, impossible, je ne peux pas, c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'empêcher de…" disparaissent de votre vocabulaire : ils ne sont pas français.
Ce qui est français, c'est : c'est facile et je peux. »

Emile Coué

mardi 16 avril 2013

Et si vous disposiez d'un GPS pour vous aider à trouver le job de vos rêves?


Je viens de lancer un nouveau produit d'accompagnement Carrière. L'idée est de travailler de manière concomittante bilan et projet (passé et vision) en se faisant plaisir. Le tout rapidement et sans remplir des dizaines de pages.

J'ai pensé l’approche « Dream Job Pack – GPS Carrière ©» comme modèle d’accompagnement (ou Coaching) de démarrage ou de transition de carrière simple, efficace et ludique.
Le client ainsi accompagné est le détective de sa conscience à la recherche du job de ses rêves. Il peut, en 8 semaines, déterminer quel est ce job et avoir un plan d’actions pour l’atteindre.
Le client dispose ou pas d’une expérience professionnelle préalable.
Ce dernier n’a pas de travail intersession et il peut compter sur le coach pour formaliser les travaux à la fin de chaque séance de Coaching.


Le modèle « Dream Job Pack – GPS Carrière ©»  a été bâti  à partir de différentes sources inspirantes librement adaptées. Il vise à ce que le client :
-       Détermine un objectif principal (éventuellement assorti d’objectifs secondaires) lié à sa carrière qu’il souhaite atteindre à la fin des séances de Coaching ;
-       Constitue son GPS (Global Positioning System ou Guidage Par Satellite), ensemble de références sur 9 dimensions (Talents, Intérêts, Compétences, Qualités, Contacts, Motivation, Rêves, Environnement, Temps et Argent) qui lui permette de s’orienter à propos;
-       Définisse 3 cibles potentielles de job cible ;
-       Choisisse son « Dream Job » ;
-       Etablisse sur cette cible privilégiée (« Dream Job ») un plan d’actions à court (3mois) et long terme (à définir).

Le modèle déployé dans ce Coaching s’inspire de différents travaux sur les neurosciences, tout particulièrement d’outils issus de la Programmation Neuro Linguistique (PNL), de l’Analyse Transactionnelle (AT) et de la Systémique. Le modèle « Dream Job Pack – GPS Carrière ©» est intégratif, à savoir que le bilan (le passé et ses marqueurs somatiques) est travaillé en même temps que le projet (la vision d’avenir avec du coaching narratif) et non de manière séquentielle.

L’accompagnement « Dream Job Pack – GPS Carrière ©» se compose ainsi de 8 séances de Coaching de 1h30.
2 sessions ultérieures sont organisées dans les 3 mois suivant la fin du Coaching. Ces sessions visent la clarification ou l’approfondissement de certains éléments du plan d’actions à court terme du client établi à la fin du Coaching.
Au total, l’accompagnement comptabilise 10 séances, soit 15 heures de Coaching.

Vous souhaitez en discuter?
Contactez-moi par mail à cr.invicem@gmail.com ou par téléphone au 06.60.57.44.82.

mercredi 3 avril 2013

Avez-vous déjà rêvé d’avoir un 3ème œil ?


Il ne s’agit pas de science-fiction, juste de co-développement. 

J’en ai fait l’expérience chez un de mes employeurs, d’abord dans une formation sous la terminologie de « Groupe d’Analyse de Pratiques », puis en tant que manager client (dans les 2 cas, j’étais celui en recherche de solutions de la part de mes pairs ou apportant des solutions à un pair). Enfin, j’ai été formé à la méthode et j’ai ainsi animé certains ateliers en accompagnement de projets de transformation : dans la phase mise en place de nouveaux outils de management, nous nous retrouvions ainsi chaque vendredi matin pour un atelier de co-développement hebdomadaire où nous traitions de 3 sujets en 2 heures.

Voici quelques retours obtenus à l’époque des participants:


« on trouve nous-même les solutions même si on nous les avait dites avant »
« ça me permet de relativiser sur le fait qu’on se met parfois la barre très haute »
« j’ai compris que parler de son problème avec les concernés aide souvent à le résoudre »
« j’ai trouvé ça énorme, au-delà des solutions, il y a beaucoup de choses non dites qui ressortent »
« le co-développement, c’est le 3ème œil ! »

Ainsi, l’autre soir quand une amie me propose un atelier de co-développement in vivo par un organisme qui forme à la méthode (le réseau Aramis), la tentation est trop grande de voir si jamais il y a des innovations, idées nouvelles à glaner de cet exercice. J’y cours et me porte volontaire comme consultant, la suite… chut, je suis tenu par la confidentialité, principal cardinal du co-développement en plus de la bienveillance/non jugement, de la parole brève et de l’écoute.

Sur la forme, un format plus long (1h30) que mon expérience (un format court de 30 minutes) mais un canevas rigoureusement identique à la méthode à laquelle j’ai été formé, à cela près que nous ne sommes pas pairs et que du coup, l’idée chemine d’une ouverture des ateliers à des tiers volontaires de l’entreprise pour qui sait des propositions plus décalées : bénéficier de l’œil neuf de celui qui rentre sur le sujet, pose des questions naïves, propose des actions inédites.

Sur la théorie, l’atelier de co-développement peut se décomposer en 5 étapes comme suit :
1. L’exposé du problème : le participant (ou le client) expose sa question, les pairs écoutent
2. La clarification : les pairs pose des questions et le participant répond
3. La reformulation : les pairs reformulent la demande du participant en produisant de la valeur ajoutée, en mettant en relief quelque chose de particulier
4. Les options : les pairs donnent une option, le participant écoute et prend des notes
5. Le bouclage : le participant synthétise les apports et conçoit un plan d’actions, les pairs écoutent

Les bases théoriques nous viennent du Québec. Le livre qui fait référence en la matière s’intitule « Le Groupe de co-développement professionnel » par Adrien Payette et Claude Champagne.

L’atelier de co-développement est un outil d’apprentissage au sein des organisations, au même titre que la formation, le tutorat ou le coaching.

Pour moi il reste un outil très churchillien au sens où il véhicule l’optimisme cher au grand homme qui voyait  dans les problèmes des opportunités d’échange !
Si vous souhaitez en savoir plus, contactez-moi.

mercredi 20 mars 2013

Savez-vous bien nommer ce qui se passe en vous?

Je partage avec vous mes notes de la conférence de Thomas d’Ansembourg le mardi 19 mars à 20h30 à l’Espace Reuilly à Paris 12e
Le thème : « Cessez d’être gentil, soyez vrai ! », son best-seller vendu à plus de 500000 exemplaires.
Vaincre la courtoisie de façade, identifier certains pièges pour aboutir à une qualité de relation vraie. Ces pièges, Thomas en mentionne 5. Il s’agit d’égos, de peurs qui ne sont pas dans notre nature mais émanent de notre culture, de notre éducation. Quelle est notre nature, le savons-nous ? L’ancien avocat belge, devenu psychothérapeute a fait de son côté tout un travail personnel pour comprendre tout cela et parle depuis 20 ans de Communication Non Violente ou CNV (concept inventé par Marshall Rosenberg) au point d’être aujourd’hui reconnu comme le fer de lance francophone sur le sujet. Il élabore ainsi :
1.       La difficulté à être au lieu de faire, faire, faire… : nous avons plus appris à faire qu’à être et il semble y avoir de plus en plus de choses à faire dans la vie avec de moins en moins de temps consacré à la respiration, l’intériorisation, la prise de recul favorisant la requalification des priorités, etc. Tôt ou tard, l’addition nous est présentée, elle peut prendre des formes diverses : « burn-out », reproches, etc. Il est donc écologique de constamment aligner ses objectifs sur sa réalité.
2.       L’estime de soi mal chevillée en nous et parfois placée dans l’autre. Il s’agit de travailler son estime de soi, de jardiner son jardin intérieur, de développer ainsi une capacité de se mettre à l’abri par rapport à d’éventuels reproches (« tu es égoïste, tu ne penses qu’à toi »).
3.       La difficulté à faire bon accueil de la différence où l’on réagit avec « le gourdin de l’argumentation » ou alors on achète la paix par un bref « tu as raison » : il s’agit de travailler l’accueil de la différence, être déjà ensemble d’accord sur le fait qu’il y a une différence sans pour autant que cela n’empêche de passer un bon moment avec l’autre.
4.       La difficulté à dire non et surtout à dire non à temps. Il s’agit de ne pas dire oui de manière contrainte pour être juste gentil par éducation pour éviter l’explosion. Bref, il s’agit de faire un travail d’hygiène psychique en osant dire non sur un mode CNV en clarifiant notamment pour l’autre ce à quoi nous disons oui en disant non. Thomas emprunte à Jacques Salomé le fin jeu de mots « J’ai tout fait pour elle, j’étouffais pour elle » ;-).
5.       La difficulté à faire un bon usage de ses émotions : il s’agit de bien comprendre la joie, la tristesse, la colère, etc. et de l’exprimer en mode CNV pour une question de bonne hygiène personnelle. « Si je réprime ce qu’il serait juste que j’exprime, tôt ou tard, je déprime ».
Au final, comme le dit Thomas lui-même dans son introduction où il se présente avec sa formation d’avocat, « rien dans ma bonne éducation ne m’avait appris à nommer ce qui se passe en moi ».  Le concept se voit aujourd’hui ouvrir les portes des écoles et c’est bienvenu. Il s’agit bien d’une affaire de santé publique car comment prétendre être en paix avec les autres sans être au préalable en paix avec soi-même, au clair avec ses émotions.
Il s’agit donc de relier l’intelligence logico-mathématique du cerveau (qui observe les faits) avec l’intelligence émotionnelle (qui ressent les choses, identifie les sentiments) pour identifier le besoin à nourrir (au niveau du ventre) et émettre une demande, vers une action (les jambes). Bref, passer du mode chacal – « j’suis naze ce soir alors laisse-moi un peu en paix mon chéri (ma chérie) » au mode girafe  - « mon chéri (ou ma chérie), j’ai envie que l’on passe une bonne soirée ensemble mais là, je suis épuisé par ma journée de travail et j’ai besoin de décompresser en prenant un bain et en lisant le journal. Es-tu d’accord pour me donner 45 minutes avant que l’on ne commence à préparer le diner ensemble? »
Ainsi se résume en 4 étapes le processus de CNV :
-          Observation des faits
-          expression du (des) Sentiment (s) ou émotions suscitées par ces faits
-          clarification du Besoin à nourrir pour que l’émotion soit calmée
-          émission d’une Demande à l’autre, à soi, etc.
Plus d’infos sur le site de l’orateur du soir : http://www.thomasdansembourg.com/fr/index.html

mardi 5 février 2013

Faire de chacun le détective de sa conscience, (re)-découvrir Maslow

Lors d’un travail récent avec un client en recherche de poste, je l’ai interrogé sur la satisfaction de ses besoins au regard de la pyramide de Maslow. Il hésitait entre deux types de fonctions qu’il avait déjà expérimentées et donc je l’ai invité à se poser pour chaque fonction les questions sur les 5 niveaux de la pyramide, dans la mesure où ces questions revêtaient une importance pour lui. D’abord le versant professionnel puis le versant personnel.
Au-delà des questions, je l’ai invité à noter sur des post-it les doutes ou aspects qui méritaient pour lui une clarification.
Puis je lui ai demandé de me lire chaque question. En le questionnant plus en avant, il a pu y voir clair et valider son choix pour une fonction plutôt que l’autre.
Se faisant, il était plus dans la pleine conscience de ses moteurs et plus à même de les verbaliser en entretien. En conclusion, je l’ai invité à m’énoncer la mission/le rôle qu’il entendait avoir sur le mode « J’ai envie de/Je souhaite ».
Selon Monster.com, seuls 8% des gens exercent le job de leurs rêves.
Je lancerai à partir d’Avril 2013 un pack de revue/structuration de projet professionnel pour actifs et non actifs (de 17 à 67 ans) afin de faire du plus grand nombre le détective de sa conscience sur le mode: "C'est quoi le job de mes rêves? Et si c'était possible?".

mercredi 23 janvier 2013

Mieux connaître ses zones d’effort et de confort est un extraordinaire levier de développement

J’aime les activités de plein air avec du monde / J’aime bouquiner 20 minutes chaque soir après le diner quand les enfants sont au lit
J’aime aller à la salle de gym et être accompagné par un coach avec lequel je peux échanger / J’aime le yoga pour le calme et le ressourcement que cela me procure
J’aime les gens qui sont capables de me parler de l’origine de leur idée, des liens qui les ont menés à une proposition /  J’aime les gens concrets qui se bornent aux faits et sont « straight to the point »
J’aime quand mon boss me dit que ma manière de gérer la réunion lui a plu /  J’aime quand mon boss se contente de me féliciter sur l’objectif atteint et me donne un feedback précis en fin de mission sur les tâches accomplies
Pourquoi j’aime telle et telle chose, moins d’autres choses ? Pourquoi la relation avec certaines personnes est si aisée, la communication avec d’autres source d’énervement, de stress ?
Il existe plusieurs moyens/outils pour découvrir cela. J’ai choisi aujourd’hui de vous parler de l’un d’entre eux - le MBTI - auquel je crois pour l’avoir expérimenté en tant que manager, ami, aimant avant de me certifier pour le partager et en faire un des outils au service de mon coaching, de mes clients coachés.
Qu’est-ce que le MBTI ?
Le MBTI (Myers Briggs Type Indicator) est un questionnaire et non un test. Basé sur les travaux de Carl Jung, psychiatre suisse (Psychological types, 1921), il fait partie des modèles de type de personnalité. Il ne nous dit pas si nous faisons les choses bien ou pas (ce que font beaucoup de modèles de traits où l’on mesure l’intensité sur une dimension). Il nous donne simplement nos préférences comportementales sur 4 dimensions. Il nous aide à nous positionner sur ces 4 processus qui interviennent dans notre vie quotidienne :
-          Où je puise et d'où je tire mon énergie? (E/I)
-          Comment je capte l'info, à quelle info je fais confiance? (N/S)
-          Comment je prends mes décisions? (T/F)
-          Quel est mon mode de vie? (J/P)
Utilisé dans un groupe, il permet aux personnes de prendre conscience des différences. Le MBTI est  sur ce sujet un des rares outils à voir les différences de manière positive.
Né en 1962, il a déjà donné lieu à plus de 4000 études scientifiques. Il est aujourd’hui administré auprès de 2 millions de professionnels chaque année.
Le MBTI est un outil de développement au service de l’individu. Il est par contre déontologiquement interdit de l’utiliser dans le cadre de processus de recrutement. Comme toute personne certifiée, je suis donc habilité à l’administrer dans un cadre de développement.
A quoi il me sert ? En quoi il peut vous servir ?
En tant que consultant, que fils, que parrain, qu’ami, qu’aimant
Personnellement je l’ai passé 3 fois en 15 ans de vie professionnelle – 1 fois dans une formation de management et 2 fois dans des séminaires de management.
Il m’a permis de mieux me connaître de manière simple et rapide : j’ai pu accéder en demi-journée à mes modes d’action, j’ai pris conscience de mes fonctionnements innés, de mes zones de facilité et de mes zones d’effort : j’avais tout d’un coup une vision claire de mes talents et conscience que certaines situations m’étaient difficiles du fait d’une préférence comportementale à l’œuvre : je n’étais pas mauvais dans telle chose mais disposant de moins de facilité, j’étais dans une zone d’effort. En tant que manager, je voyais plus clair sur mes atouts. Connaissant aussi le type de mes N-1, je pouvais aussi mieux gérer les talents en distribuant les tâches plus selon les préférences de chacun. Au final, je gérais avec plus de plaisir et créais plus d’harmonie autour de moi.
Dans un autre contexte, vis-à-vis de personnes avec lesquelles j’étais en interaction de manière assez  abrasive, cela m’a permis de prendre conscience de différences à l’œuvre, j’ai fait preuve alors de plus d’écoute et de plus d’adaptation vis-à-vis de celles-ci, notamment dans certaines situations à enjeu.
A un niveau plus personnel, il me permet de mieux cerner les besoins de l’autre et j’espère de mieux y répondre.
Au-delà de la connaissance de mon type, la connaissance récente de la dynamique de ce dernier (à savoir des fonctions du type, ce qui se fait dans une 2ème séance de coaching – séance d’approfondissement) me permet notamment de mieux gérer les situations de communication, les situations conflictuelles, de stress, etc.
Enfin, du fait des études que je mentionnais, il est connu que certains types de personnalité sont plus représentés dans certaines professions. Je me souviens d’une formatrice qui nous disait il y a 3 ans: « si j’avais su plus tôt quel était mon type - INFJ – j’aurais su que je ne m’épanouirais pas dans le développement informatique ». Cela  doit rester pour moi une indication à prendre en considération ou pas. Dans mon cas, cela valide mon évolution de carrière.
En tant que coach, je l’utilise dans le cadre de coachings individuels, de coachings collectifs, de formations :
-          pour faire prendre conscience dans une première séance (Entretien de découverte du type) des préférences comportementales sur les 4 processus et voir comment par rapport à l’objectif du coaching cela résonne pour le (s) coaché (s), à quel (s) premier (s) pas cela peut donner lieu ;
-          pour donner accès à la connaissance des fonctions (dominante, auxiliaire, tertiaire, inférieure) dans une seconde séance et mieux faire prendre conscience au (x) coaché (s) de ses (leurs) appuis fondamentaux et réactions en situation conflictuelle, de stress, etc. toujours en lien avec l’objectif du coaching.
Les formations proposées (toutes de 2 jours) sont comme suit :
o   Accompagnez le changement avec le MBTI
o   Renforcez votre cohésion d'équipe avec le MBTI
o   Managez plus efficacement avec le MBTI
o   Gérez mieux vos énergies (stress, conflits) avec le MBTI

Le MBTI peut vous permettre d’ouvrir des possibilités pour vous, pour vous en relation avec les autres.

lundi 7 janvier 2013

Les résolutions de la nouvelle année - comment aller au-delà de l'intention?

A tout début d'année ses voeux traditionnels. Je vois sur le net que la palme du voeu le plus court va à "Bonané", ce qui me fait doucement sourire - j'imagine du créole qui sait - alors que débute ma première semaine de travail après le soleil de Bessans en Savoie.

Je vous souhaite donc pour 2013 de mettre en oeuvre à votre rythme vos envies de changement peuplées de "J'ai envie de", en commençant par l'essentiel.

Mais est-ce si facile à faire tout seul?
Comme chaque année, anniversaire et calendaire, je fais moi aussi une liste de bonnes résolutions parfois partagée avec des amis.
Et vous, qu'envisagez-vous pour 2013? D'arrêter de fumer, de partir moins tard du travail pour faire du sport, de faire une expo par mois, de courir un semi-marathon, d'arrêter de vous plaindre de votre boss et d'enfin l'accepter tel qu'il/telle qu'elle est?

Pourquoi n'est-ce pas si facile?
Pendant ma formation au coaching, j'ai appris que pour qu'un objectif de changement soit valide, il fallait déjà qu'il soit PREMIER (Précis, Réaliste et Réalisable, Enoncé positivement, Mesurable, Identifiable dans son contexte, Ecologique pour soi et son environnement, quelque chose dont nous sommes seul Responsable).
Ainsi, arrêter de fumer peut devenir avoir plus de souffle (mesurable par courir 20 minutes sans être essouflé dans 3 mois contre 10 aujourd'hui), avoir meilleure haleine, etc.

Par ailleurs, changer quelque chose, c'est d'abord et avant tout comprendre le besoin que ce quelque chose satisfait aujourd'hui. Et continuer différemment à combler ce besoin pour asseoir le changement.
Ainsi fumer peut répondre à un besoin de sociabilisation avec des collègues, qui pourraît être tout aussi bien comblé par 2 déjeuners hebdomadaires.
En effet, c'est seulement en comprenant le fondement du comportement insatisfaisant que je vais disposer du levier indispensable à mettre en oeuvre mes bonnes résolutions.
D'un certain point de vue, il y a un intérêt, une « intention positive » (un des présupposés de la PNL) à avoir un comportement particulier. Impossible donc de le changer si on ne s'occupe pas de cette intention d'abord.

Voilà donc un premier pas vers le changement: comprendre cette intention positive.

Il est parfois utile pour cela de se faire aider. Ma formation de coach, faite sur un mode coaching et mes réunions mensuelles de pratique entre pairs ont été/sont clés pour me faire changer certaines choses dans mes vies professionnelle et personnelle.

A vous de jouer!

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At some level all behavior is (or at one time was) "positively intended". It is or was perceived as appropriate given the context in which it was established, from the point of view of the person whose behavior it is. It is easier and more productive to respond to the intention rather than the expression of a problematic behavior.

Consider the positive intention(s) behind the behavior(s) associated with the issue or situation.

What could be the positive intentions (protection, attention, establishing boundaries, etc.) behind the behaviors of the other person and/or your reactions?

Robert Dilts - http://www.nlpu.com/